"Le pansori"
Un groupe coréen qui s’appelle Lee Nal Chi est très connu avec ses nouvelles et traditionnelles chansons. Ils ont étudié la musique classique coréenne, ‘국악’. Alors, ils combinent la musique classique avec de la moderne pop moderne.
Sur la photo, c’est une vidéo de Korea Tourism Organization de l'office de tourisme de la Corée ou la chanson du groupe LEE NAL CHI est utilisée pour promouvoir les différents sites touristiques en Corée.
J'ai choisi le groupe qui chante '범내려온다', chanson dans la vidéo. c'est Lee Nal Chi. Il porte le nom de Lee Nalchi, un de grands chanteurs de Corée. Son genre de musique est pop alternative avec musique classique coréenne, "Pansori". Il a active depuis 2019. membres sont 장영규, 정중엽, 이철희, 권송희, 신유진, 안이호 et 이나래. Ils créent des musiques avec ses voix, guitare basse et de batterie. 3 d'entre eux ont fait des études de Pansori, donc il est possible de présenter musique spécialise. Comme une autre chanson de Lee Nal Chi, il y a « 별주부가 울며 여짜오되 », « 호랑이 뒷다리 » et ex cetera je pense qu'ils sont géniaux et ses chansons donnent de l'énergie. Le groupe combinent la musique classique avec la pop moderne, alors je pense que l'Office National de Tourisme a bien choisi sa chanson parce que tout le monde peut les aimer. Mais je peux faire critique qu'ils peuvent changer les paroles des chansons un peu parce que ses chansons sont très difficiles à comprendre.
En plus d'une danse spéciale, le groupe présente de la musique classique coréenne qui est similaire au type Pansori. Les rythmes sont forts et entraînants, et la danse est singulière, donnant au groupe le nom de «Dokkebi du 21ème siècle», ce qui signifie un petit démon espiègle souvent mentionné dans les contes populaires coréens.
La chanson «Bum Naeryeo’onda», ou «Voici le tigre» fait partie d’une célèbre chanson d’histoire qui était populaire en Corée il y a quelques centaines d’années. Et les paroles, grossièrement traduites, sont celles-ci : «Voici le tigre. Voici le tigre. Dans une vallée profonde à l'intérieur des longs bois vient une grande bête. Le corps rayé, la queue bien plus que deux bras, balançant sa tête de chenille, les pattes antérieures comme un carquois, les pattes arrière comme une gourde, deux oreilles écartées, le charrrrrrr dispersant le sable et les racines avec des griffes comme une faucille de fer, la bouche écarlate grande ouverte avec un cri «Wurirung». Comme si le ciel s'était effondré et que la terre s'était effondrée, la tortue retire frénétiquement son cou et se couche immobile, face cachée.» Ces lignes sont répétées encore et encore dans un rythme et une rime spéciaux.
Dans l'histoire, pour son maître, l'empereur-dragon des mers, la tortue à la carapace molle tente d'attirer un lapin vivant dans les eaux. Mais étant pressé d’attraper le lapin, il prononce mal «Monsieur To », comme en coréen« Tokki », ou lapin, comme« Monsieur Ho », comme en coréen« Horang’i », ou tigre, appelant la bête au lieu de la victime. Très effrayée, la tortue à la carapace molle se blottit sur le sol alors que le tigre courra vers lui.
   Bo-kyung CHOI- 20218 (25_20218@djflhs.djsch.kr)
   Ji-woo KIM - 20205 (25_20205@djflhs.djsch.kr)
   Do-hyun Yu - 20217 (25_20217@djflhs.djsch.kr)
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